Au Paraguay, dans un marché agricole en plein développement, celui de la culture horticole a particulièrement explosé ces dernières années. Sur plus de 3500 hectares sur tout le territoire poussent tomates, oignons, pommes de terre, carottes : des cultures essentielles à l’alimentation du pays. Pour accompagner le développement de ce nouveau marché, les représentants TIMAC AGRO Paraguay soutiennent les agriculteurs avec un suivi précis : l’intégration de nouvelles technologies pour augmenter la production et la qualité des cultures se fait de manière contrôlée, selon les besoins de chaque sol et exploitation. C’est l’expérience d’Arturo Horn, qui s’est spécialisé dans les cultures horticoles, et qui accompagne de nombreuses exploitations dans leurs besoins de rendements plus importants et plus qualitatifs face à la demande.
Pourriez-vous vous présenter ?
Je suis ingénieur agronome, je travaille dans la profession depuis 9 ans comme représentant TIMAC AGRO Paraguay. Je me déplace dans la région centrale du pays, dans les départements de Caaguazú, Guaira et une partie de Canindeyú.
Quelles sont vos conditions de travail ?
Dans les départements de Caaguazú et Guaira, le sol est sablo-limoneux, la température moyenne est de 22,5 °C et les précipitations annuelles varient entre 1 500 et 1 800 mm. Dans le département de Canindeyú, la température moyenne est de 23,5 °C et les précipitations annuelles sont comprises entre 1 400 et 1 600 mm. Les sols sont généralement meubles, bien aérés et peu fertiles. Le climat varie beaucoup, principalement en été, et nous avons souvent des orages qui font des ravages, notamment sur les infrastructures des agriculteurs. En outre, les cultures sont très sensibles aux maladies et aux parasites, et avec les nombreuses cultures produites sur une même parcelle, il y a généralement des problèmes de nématodes
Comment travaillent les horticulteurs ?
Les horticulteurs de la région se concentrent davantage sur les cultures de tomates et de poivrons : ce sont celles qui génèrent le plus de revenus. Ils cultivent également des pastèques, des melons, des choux et, dans une moindre mesure, des cultures hydroponiques. La fertilisation est généralement basique pour ces cultures avec un niveau technologique bas : l’utilisation précise de nos solutions génère du coup un changement rapide dans la production et la vitalité des plantes. Le principal problème pour ces horticulteurs réside dans la qualité de la fertilisation et dans la planification des cultures.
Comment adaptez-vous votre travail pour obtenir de bons résultats ?
En changeant la façon de penser et d’agir. Il a été difficile de changer notre façon de travailler et d’améliorer nos compétences sur le terrain, mais, jour après jour, nous nous améliorons. Nous avons commencé par des engrais qui nous donnaient des résultats immédiats, puis par des biostimulants. Maintenant nous positionnons les engrais hydrosolubles, avec lesquels nous avons une acceptation et une différenciation rapides sur le marché. Un autre élément différenciant, et l’un des plus importants auquel je puisse penser, est que je suis toujours en train d’imaginer, de chercher, d’être attentif aux nouvelles opportunités commerciales dans toutes les cultures. Je ne me limite pas aux grandes cultures.
Qu’avez-vous appris de cette expérience et quelle est votre perception actuelle ?
J’ai appris que chaque jour nous pouvons accroître nos connaissances et changer radicalement la condition d’un agriculteur, sa façon de travailler, le professionnaliser et nous professionnaliser par la même occasion.
Nos représentants portent sur le terrain l’expertise TIMAC AGRO : découvrez notre série « Daily Life on the Fields » sur Youtube
Découvrez les visages de TIMAC AGRO dans notre série #FieldRepFriday sur Instagram: TIMAC AGRO International
Plus d’informations sur notre filiale du Paraguay : py.timacagro.com